Qu’il s’agisse d’un projet d’achat d’une résidence principale ou d’un investissement locatif ou d’une vente, dans un contexte de forte hausse des taux de crédit immobilier, de difficultés d’emprunt et plus généralement de forte inflation et de contexte mondial ! Alors, quand les prix de l’immobilier vont-ils baisser en France ? Est-ce déjà le cas dans différentes zones géographiques ? Vous trouverez ci-dessous une analyse complète de l’état actuel du marché immobilier français.

Les taux d’emprunt ont presque doublé

Les prix de l’immobilier baissent enfin après seulement deux ans en prévision d’une certaine pandémie. Cette baisse est due au fait que le contexte inflationniste modifie la situation économique des ménages. De plus, ils ont également beaucoup de dépenses après l’acquisition de la propriété, notamment les frais d’assurance.

Demander une soumission d’assurance habitation à l’avance peut vous donner une idée du montant que vous devez à votre compagnie d’assurance. Une loi visant à protéger le pouvoir d’achat des Français a été récemment proposée. Pourtant, l’impact de la hausse des prix est important. Cela a réduit le reste des ménages français de 15 à 20 %. Avec la hausse des taux d’intérêt, le financement bancaire est loin d’être une alternative pour tout le monde.

En seulement six mois, il a presque doublé en France. Les prêteurs offrent maintenant des taux d’environ 2 %. Les conditions d’octroi ont également été révisées au 1er janvier à la demande du Conseil supérieur de stabilité financière. Le taux d’attrition, bien que revu à la hausse, reste négatif pour les emprunteurs. Les familles à faible revenu en pâtissent et sont parfois même exclues du marché.

Une baisse de prix de 10 % à 20 % environ ?

Toutefois, la hausse des taux d’intérêt et les difficultés d’emprunt se poursuivront. Alors que le taux moyen d’un crédit immobilier sur 20 ans était de 2,30 % mi-octobre, l’Observatoire Crédit Logement CSA estime que les taux se stabiliseront à 2,45 % d’ici fin 2023 après une période mouvementée.

Dans le scénario adopté en octobre, et compte tenu des évolutions intervenues au cours de l’été, la croissance en 2022 devrait s’établir en moyenne à 1,65 %, pour terminer l’année à 2,40 %. Elle augmentera de 40 points de pourcentage supplémentaires au premier semestre. 2023 (à 2,80 % d’ici fin juin 2023), et diminuera lentement jusqu’à 2,45 % d’ici fin 2023, et se stabilisera à ce niveau d’ici 2024.

Souvent, la hausse des taux d’intérêt coïncide avec une baisse de l’accessibilité de l’immobilier pour les emprunteurs, même si ces derniers trouvent souvent des alternatives : acheter des biens plus petits ou revoir leurs projets pour passer à des biens un peu moins bien notés (un peu moins légers, moins d’espace : pauvre, mauvaise vue, pas de balcon…). Cependant, tout cela ne peut durer qu’un temps. Si les acquéreurs se retrouvent freinés, ils devront peut-être subir un ajustement de prix important de 10 % à 20 % », mais pas tout de suite. Il faut du temps pour que les vendeurs acceptent de baisser les prix. Il y a toujours des acheteurs pressés, ou des acquéreurs très fortunés, donc ça peut être trompeur pendant plusieurs trimestres.

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